
http://www.firefighter-emt.com/gadgets-and-shop
http://www.chiefsupply.com/4349-Channellock-89-Rescue-Tool-w-Cable-Cutter-Head.aspx
[]POMPIERS - INDUSTRIEL
"SECURITE, tel est notre credo. Sécurité des personnes, des bâtiments,
des lieux, des individus travaillant sur le site, nous sommes prêt à intervenir
à tout moment. De jour comme de nuit.
DESCRIPTIF:
L'industrie est un lieu où travail de nombreuses personnes dont il faut assurer la sécurité. Le pompier industriel apporte aide et assistance dans tous les événements à risque.
La lutte contre les incendies n'étant qu'une petite partie de ses interventions. Il assure aussi le secours aux victimes, l'assistance en cas d'accidents, d'explosions de bâtiments , les évacuations d'urgence, les levées de doute de détections incendie,les prélèvements en air,les contrôles régulier des moyens d'attaque PI/BI,extincteurs,RIA ,les permis de feux, la sécurité lors de dépotage...ect..... . C'est un métier dangereux et exaltant qui demande une réelle vocation. Le Pompier Industriel suit des entraînements spécifiques :(Pyrotechnique, Chimique, Electrique, Pétrochimique, Radiologique). Il effectue des man½uvres incendies, fait des exercices de secourisme. Il assure également l'entretien des véhicules ou fait des travaux d'ordre administratif. Les pompiers assurent la sécurité des personnes et des biens ou la prévention des risques, l'encadrement, le suivi administratif, la formation...
LES CONDITIONS DE TRAVAIL
Etre pompier Industriel, c'est mettre au service de tous: compétence, rapidité, forme physique excellente et courage. Sa mission consiste à secourir et protéger les personnes, les biens ou l'environnement, à lutter contre les périls ou accidents de toute nature. Le pompier Industriel fait partie de la convention du personnel agent de sécurité Incendie. A ce titre, il contribue à la sécurité en travaillant à la prévention des actions susceptibles de porter atteinte à la sécurité des personnes et des biens présentes sur le site industriel . Il effectue les interventions toujours en équipe sous l'autorité d'un supérieur hiérarchique Avec un rythme de travail de 12 heures de garde cela permet de pouvoir assurer une permanence 365 jours sur 365 pour pouvoir intervenir à tous moment. Pour pretendre à un poste de Pompier Industriel il faut suivre le cursus suivant: FIA spv, permis poids lourds, PSE1/PSE2, visite médicale delivrée par la médecine du travail ( pour certaines habilitations) , de formations spécifiques à la Prévention et à la Securité ), et plusieurs heurs de recyclage régulier tous les ans
Risques technologiques > Risque industriel
Fiche RT1
Sommaire : I - Définition
II - Les principaux phénomènes redoutés
III - Les effets possibles en cas d'accident industriel
IV - Prévention du risque industriel
I - Définition
Le risque industriel se caractérise par un accident se produisant sur un site industriel et pouvant entraîner des conséquences graves pour le personnel, les populations, les biens, l'environnement ou le milieu naturel.
La France dispose depuis longtemps d'une législation spécifique permettant de réglementer le fonctionnement des établissements industriels présentant des inconvénients ou des dangers pour l'environnement : la législation des Installations Classées pour la Protection de l'Environnement (ICPE). Le régime des ICPE est issu de la loi du 19 juillet 1976 (aujourd'hui codifiée aux articles L511-1 et suivants du Code de l'Environnement) et de son décret d'application du 21 septembre 1977. Ces installations et activités sont inscrites dans une nomenclature, et doivent obtenir une autorisation préfectorale, ou être déclarées avant leur mise en service, suivant la gravité des dangers ou inconvénients qu'elles peuvent présenter.
Parmi les ICPE soumises à autorisation, les établissements où la quantité de produits dangereux dépasse les seuils fixés dans la directive européenne "Seveso 2" de 1996 modifiée, remplaçant la directive "Seveso 1" de 1982, sont soumis à une réglementation encore plus stricte. Ces établissements doivent en effet répondre à des exigences particulières, à savoir l'obligation de réaliser des études de dangers sur les activités mettant en ½uvre les produits en question, l'obligation de réaliser des plans de secours et d'informer les populations. Une maîtrise de l'urbanisation doit être réalisée autour de ces sites. Ces installations qui relèvent la plupart du temps des secteurs de la chimie et de la pétrochimie, sont appelées communément établissements Seveso.
II - Principaux phénomènes redoutés
Différents phénomènes pouvant avoir des conséquences graves sont redoutés au sein des sites industriels :
Le B.L.E.V.E. : "Boiling Liquid Expanding Vapor Explosion", c'est-à-dire explosion de gaz en expansion provenant d'un liquide en ébullition (cas de l'accident de Feyzin, en 1967, 17 morts).
Une augmentation de température, le plus souvent causée par un incendie, fragilise le métal de la sphère de stockage. La sphère peut éclater sous l'effet de la pression interne. L'éclatement, s'il a lieu, entraîne une projection de fragments et/ou missiles, et la libération du gaz liquide qui est instantanément vaporisé. Si le gaz en question est inflammable, il y a formation d'une boule de feu avec un rayonnement thermique intense. Les effets sont essentiellement des effets thermiques.
L'U.V.C.E. : "Unconfined Vapor Cloud Explosion", c'est-à-dire explosion d'un nuage de gaz en milieu non confiné (cas de Flixborough, en 1947, 28 morts).
Suite à une fuite de gaz combustible, le mélange du gaz et de l'air peut former un nuage inflammable qui rencontrant une source d'allumage peut exploser. Les effets sont essentiellement des effets de pression.
L'incendie d'un stock de produits, avec risque d'explosion (cas d'AZF à Toulouse, en 2001, 30 morts).
L'émission et la diffusion de produits toxiques, suite à un incendie ou une fuite accidentelle, avec risque de pollution de l'air, de l'eau, du sol (cas de Seveso en 1976 et Bhopal en 1984).
III - Effets possibles en cas d'accident industriel
On peut classer les risques industriels par nature et effets.
3.1 - Les risques thermiques
L'exposition à un flux thermique lié à un incendie ou à une explosion peut provoquer des brûlures à des degrés variables, en fonction de la distance à laquelle on se trouve.
3.2 - Les risques de surpression
Ces effets se font sentir suite à une explosion qui provoque une onde de surpression pouvant déstabiliser les structures matérielles (projections, effondrement des bâtiments) et causer des lésions chez l'homme (lésions internes au niveau des tympans et des poumons, traumatismes).
3.3 - Les risques toxiques
Suite à une fuite de gaz toxique, l'inhalation d'une telle substance peut provoquer l'intoxication des individus exposés. C'est par les poumons que les produits pénètrent dans le corps. La peau et les yeux peuvent aussi être atteints. Selon que l'on est gravement touché ou pas, les symptômes peuvent varier d'une simple irritation de la peau ou d'une sensation de picotement de la gorge à des atteintes graves, comme des asphyxies ou des ½dèmes pulmonaires.
IV - Prévention du risque industriel
Une politique de prévention globale basée notamment sur la loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques naturels et technologiques et à la réparation des dommages, est mise en place pour les établissements soumis à la directive Seveso. Cette politique repose sur quatre axes.
4.1 - Premier axe : la maîtrise du risque à la source
a) L'étude de dangers
Outil de démonstration de maîtrise des risques par l'exploitant, l'étude de dangers est le premier maillon réglementaire d'une chaîne de mesures destinées à protéger les riverains et l'environnement. Elle propose une démarche d'analyse approfondie par la « loi risque » de juillet 2003.
Cette loi et les textes pris pour son application ont permis de réaffirmer et de préciser les notions d'approche probabiliste et de maîtrise des risques (arrêté du 10 mai 2000 modifié et arrêté du 29 septembre 2005 relatif à l'évaluation et à la prise en compte des probabilités d'occurrence, de la cinétique, de l'intensité des effets et de la gravité des accidents potentiels dans les études de dangers des ICPE).
Les études de dangers permettent que l'évaluation du risque tende vers une approche homogène d'un site à l'autre, en faisant l'état des lieux des installations, de leur conception et de leur fonctionnement. Elles sont réalisées par les industriels, sous le contrôle de la Direction Régionale de l'Industrie de la Recherche et de l'Environnement (DRIRE). Ces études sont systématiquement exigées pour les ICPE soumises à autorisation, dans le dossier préalable à la mise en service de l'installation. Pour les installations soumises à la directive Seveso, elles doivent être révisées a minima tous les cinq ans.
Ces études recensent les types de phénomènes dangereux possibles, leurs extensions et leurs conséquences. Elles permettent d'identifier les dispositifs de prévention et de lutte contre les accidents existants, ainsi que les moyens complémentaires à mettre en place.
Cf. fiche RT5 : Réglementation des ICPE
A noter que dans le cadre des établissements Seveso, les effets dominos (accident survenant sur une installation voisine et initiant ainsi un second accident) sont pris en compte dans la détermination des scénarios.
b) Les actions de prévention et de protection
Les établissements soumis à Autorisation doivent mettre en place une politique de prévention des accidents. Pour les établissements Seveso, un Système de Gestion de la Sécurité (SGS) doit être établi, portant notamment :
l'organisation de la formation du personnel,
la maîtrise des procédés et de l'exploitation,
le contrôle du SGS, les audits internes et la revue de direction,
...
Par ailleurs, des mesures de protection de l'installation sont également nécessaires. On distingue deux types de sécurité :
les sécurités passives, qui agissent par leur seule présence, sans intervention humaine, ni besoin d'énergie (exemple : bâtiment de confinement, cuvette de rétention);
les sécurités actives, qui nécessitent une action, une énergie, un entretien (exemple : détecteur, vannes).
4.2 - Deuxième axe : la maîtrise de l'urbanisation
La "loi risques" du 30 juillet 2003 instaure des changements importants dans la gestion des risques majeurs technologiques, et notamment dans la maîtrise de l'urbanisation autour des sites AS (Autorisation avec Servitude), avec la possibilité d'instaurer des servitudes d'utilité publique lors de modifications d'installations et la mise en place d'un Plan de Prévention des Risques Technologiques (PPRT).
Les PPRT consistent à définir, en fonction du niveau de risque, des secteurs dans lesquels des mesures d'urbanisme doivent être prises. Ces mesures peuvent consister en l'expropriation, le délaissement ou encore l'imposition de mesures constructives sur le bâti.
Les PPRT sont élaborés après un processus de concertation impliquant un grand nombre d'acteurs de tous horizons (Etat, collectivités, exploitants, riverains, salariés...).
Cf. fiche DGu4 : Plans de prévention des risques technologiques (PPRT)
4.3 - Troisième axe : l'organisation des secours
Comme le risque nul n'existe pas, les industriels et l'Etat préparent des plans d'intervention incluant procédures d'alerte et organisation des secours.
Pour les établissements classés Seveso seuil haut, un Plan d'Opération Interne (POI) et un Plan Particulier d'Intervention (PPI) sont obligatoirement mis en place.
Le POI est appliqué dès lors qu'un accident se produit à l'intérieur de l'établissement. Celui-ci concerne les moyens à mettre en place à l'intérieur de l'établissement en cas d'accident pour remettre les installations dans un état sûr. C'est le chef d'entreprise qui prend en charge la direction des opérations internes. A noter que des entreprises non concernées par la directive Seveso peuvent aussi être soumises à la réalisation d'un POI.
Le PPI, établi par le Préfet, est une des dispositions spécifiques du Plan ORSEC. Il prévoit l'organisation et l'intervention des secours (SAMU, pompiers, gendarmerie...) et des services de l'Etat (DDE, DRIRE...) lorsque les effets des phénomènes dangereux sont susceptibles de sortir des limites de l'établissement. Dans ce cadre, c'est le Préfet qui prend en charge la direction des opérations de secours.
Cf. fiche DGa1 : Organisation de la sécurité civile
Chaque établissement qui fait l'objet d'un PPI doit disposer d'une sirène qui diffuserait en cas d'accident majeur le Signal National d'Alerte (SNA).
Cf. fiche DGa4 : Signal National d'Alerte
4.4 - Quatrième axe : l'information préventive et la concertation
Les modalités d'information des populations sont fixées par le décret n°2005-1158 du 13 septembre 2005 et l'arrêté du 13 mars 2006. Une information des populations sur les risques, le signal d'alerte et la bonne conduite à avoir en cas d'accident doit être réalisée par les industriels Seveso, au moins tous les cinq ans dans les zones à risques.
En 2008, les industriels de la région Rhône-Alpes se sont regroupés pour mener une campagne d'information commune.
Par ailleurs, en matière d'information, la loi du 30 juillet 2003 et le décret n°2005-82 du 1 er février 2005 ont également institué les Comités Locaux d'Information et de Concertation (CLIC).
Cf. fiche DGi1 : Information préventive des populations
3.5 - En résumé
Les quatre axes de la politique de prévention des risques industriels majeurs
1. MAITRISE DES RISQUES A LA SOURCE
L 'exploitant doit démontrer sa maîtrise du risque via une étude de dangers et un système de gestion de la sécurité
2. MAITRISE DE L'URBANISATION
Limiter le nombre de personnes exposées en cas d'occurrence d'un phénomène dangereux
3. MAITRISE DES SECOURS
Les pouvoirs publics et l'exploitant conçoivent les plans de secours et organisent des exercices.
4. INFORMATION ET CONCERTATION
visite de site, enquêtes et réunions publiques, CLIC, campagnes d'information du public
Véhicules d' intervention et de sécurité
Le V.P.I
Aménagé en tant que premier véhicule arrivé sur les lieux du sinistre, les véhicules d'intervention et de sécurité peuvent être équipés de réservoirs d'eau, groupes motopompe, racks de rangement outils, tuyaux et spécifiés par rapport aux sites et missions auxquels ils sont affectés
Armement-type du Véhicule de Première Intervention (VPI) [Norme NF 61-526]
Equipement hydraulique
Citerne de 500 L ± 100 L
Pompe de 500/10 minimum (avec un orifice d'alimentation Ø 65, un orifice de refoulement Ø 65, et un orifice de refoulement Ø40)
1 MPP de 250/6 (option)
1 MPR 500/10 (option)
Dispositif générateur de mousse physique
80 L d'émulseur en jerricans
1 injecteur proportionneur Ø 40
1 lance à mousse de 250 L/min
Matériels d'extinction
Tuyaux de refoulement
12 souples Ø 70/20 m
6 souples Ø 45/20 m
2 semi-rigides Ø 22/20 m et 1 semi-rigide Ø 22/2 m sur dévidoir tournant
4 souples de Ø 22/20 m
Tuyaux d'aspiration
5 tuyaux Ø 100/2 m ou Ø 65/2 m (suivant la pompe)
Crépine
1 de Ø 100 ou Ø 65 (suivant la pompe) avec flotteur
Lances
1 lance Ø 65/18 à diffuseur mixte
2 lances Ø 40/14 à diffuseur mixte
1 lance Ø 20/7 avec raccord symétrique
1 lance Ø 20/7 à diffuseur mixte (sur dévidoir tournant)
Pièces de jonction
1 division Ø 65/2x40 à robinets ou division mixte Ø 65/65/2x40
1 collecteur Ø 2x65/100 à clapet
1 coude d'alimentation Ø 40
1 retenue Ø 100/2x65
1 jeu de raccords de réduction : Ø 100/65, Ø 65/40, 2 Ø 40/20 symétrique, 2 Ø 20 GFR/20 symétrique.
Matériels divers
1 clé de fontainier
1 dévidoir mobile
1 clé de barrage
2 extincteurs à poudre 9 kg
1 paire de gants feu de cheminée
Matériels d'exploration
4 ARI
2 batteries de réserve pour ARI (4 bouteilles si bi, 2 si mono)
2 commandes
1 grappin (avec chaîne et commande)
Matériels d'éclairage
2 projecteurs portattifs
1 support de projecteur orientable
25 m de câble électrique sur tambour
Matériels de sauvetage
1 cordage
1 sangle
1 gaffe
1 échelle à coulisse
1 échelle à crochets
1 inhalateur avec 2 bouteilles d'O2
1 valise électro-secours
1 portoir souple
Matériels de forcement et de déblai
1 hachette
1 petite pince avec sa gaine
1 grande pince
1 pelle
1 pioche
1 masse
1 bâche
Véhicule risques chimiques - VRCH
Véhicule armé par 3 sapeurs-pompiers permettant l'analyse et la détermination de risques chimiques ou biologiques.
Utilisation : fuites de produits chimiques dans une usine, accident mettant en cause des produits chimiques ou biologiques.
Camion citerne feux de forêts moyens – CCFM
Engin hors chemin armé par 4 sapeurs-pompiers équipé d'une réserve d'eau, d'une pompe et de tuyaux permettant de lutte contre les feux de végétaux.
Utilisation : feux de forêts, de champs, de broussailles etc.
Camionnette d'interventions diverses
Engin armé par 3 sapeurs-pompiers pouvant être équipé suivant l'intervention par des moyens d'assèchement, de tronçonnage, de destruction de guêpes, d'éclairage etc.
Utilisation : fuite d'eau, déblocage d'ascenseur, dégagement de chaussée, nids de guêpes etc.
Véhicule de secours et d'assistance aux victimes - VSAV
Engin armé par 3 sapeurs-pompiers disposant d'un brancard pour effectuer le bilan, la prise en charge et l'évacuation d'une victime vers un centre hospitalier.Ou infirmerie du site industriel.
Utilisation : secours de personnes, accident .
Fourgon pompe-tonne - FPT
Véhicule de lutte contre l'incendie armé par 6 à 8 sapeurs-pompiers, disposant d'une pompe, d'une citerne d'eau
conducteur / chef d'agrès
1 BAT et 1 BAL
citerne capacité 2000 litres
pompe 1500/15 (1500 L/min sous 15 bar)
aspiraux (tuyaux semi rigide) :
5 longueurs de 110 en 2m
tuyaux souples:
10 longueurs de 70 en 20m soit 200m
10 longueurs de 45 en 20m soit 200m
10 ou 20 mètres de 110 (pour remplissage de la tonne)
2 dévidoirs avec chacun 5 longueurs de 70 en 40m soit 2 x 200m
1 LDT (4 longueurs de 22 en 20m)
4 ARI + 4 bouteilles d'avance
ligne guide et liaison personnelle + homme mort
commandes 25m
projecteurs
lances :
4 PL 40/14 (Petite Lance traditionnelle avec raccord de 40 pour tuyau de 45) 250 L/min
2 GL 65/18 (Grosse Lance traditionnelle avec raccord de 65 pour tuyau de 70) 500 L/min
2 LM2 (petite lance à mousse) et 2 injecteur proportionneur
ou
1 LM4 (grosse lance à mousse) et son injecteur proportionneur
200 L d'émulseur
pièces de jonction :
raccords de réduction et de transformation: 100/70 70/45 45/GFR22 les raccords en 100,70 et 45 sont DSP (Dubois Spécial Paris) ou Guillemin qui sont compatibles.
Le DSP à 2 encoches et 2 tétons sur les accroches qui permettent un verrouillage)
1 Coude d'alimentation (à raccord kaezer (pour les bouches incendies)
1 Retenue (coude à raccord kaezer avec 2 vannes en 70(pour les bouches incendies))
1 Collecteur d'alimentation à clapet (1 entrée en 100 2 sorties en 70 le clapet ferme automatiquement la sortie non utilisé
1 Division en 70 2x 40 (rangé sur un dévidoir mobile)
1 Division mixte 70 / 70 2x40
1 vanne d'arrêt, certaine avec une sortie purge en GFR (pour purger l'établissement sur une EPA)
accessoires hydrauliques :
clé de poteau
clé de barrage (pour les BI)
crépine et flotteur
filtre amovible
étrangleur
Dispositif de Franchissement de Tuyaux
gilet ou sceau pompe
1 échelle à coulisse (5m reployé 8,75m déployée écartement barreau de 0.32m et 45kg maxi)
1 échelle à crochet (4.20m et 15 kg maxi, écartement 0.25m entre barreau et 0.32m aux crochets)
outil de déblai (pelles, balais, gaffes, pioches, fourches, fourches coudés, hache, masse )
kit cheminée (gamatte en tôle, hérisson glace gant)
1 sac oxygénothérapie (1 bouteille d'O2 1 BAVU et 3 masque)
1 LSPCC
des cônes de Lubeck pour la signalisation
cordage
cale
gilet de signalisation
extincteurs poudre ABC et CO2
coupe boulon
grosse pince (barre à mine)
OFD (Outil multifonction de Forcement et Déblaiement) genre de hachette
Cartes détaillés
Motopompe remorquable - MPR
Engin tracté possédant un moteur permettant de faire tourner une pompe incendie servant à réguler la pression d'un poteau d'incendie, à faire un relais ou à aspirer l'eau dans un puits, une rivière ou un plan d'eau.
Utilisation : feux de maison, feux industriels, feux de forêts etc.
Véhicule léger hors route – VLHR
Véhicule hors route armé par 2 -pompiers permettant de tracter une motopompe, une embarcation, une remorque, ou de servir de véhicule de liaison à un chef d'equipe engagé sur un feu de forêt ou tout type d'intervention présentant des difficultés d'accès.
Les interventions courantes
Le feu:
Il s'agit d'incendies d'origine accidentelle , touchant généralement les bâtiments, les forêts ou les installations techniques spécifiques .
Le secours à personnes:
Le secours à personnes ou prompt secours correspond à l'intervention de secouristes formés et équipés, capables de réaliser des gestes de secourisme.
Exemples : malaise, chute, détresse vitale etc.
Les opérations diverses:
Interventions de nature à veiller à la protection des biens et de l'environnement. Elles comprennent notamment les opérations d'épuisement, les interventions de prélèvement d'air , détection incendie, les dégagements etc..
Manoeuvres et Formations
L'ORGANISATION DES SECOURS
Buts de la sécurité
Les consignes de sécurité incendie
Organisation de l'évacuation
Secours et sauvetage
L' intervention
CARACTÉRISER LE RISQUE
Les éléments de la combustion
Développement et propagation de l'incendie
Les conséquences humaines de l'incendie
Démonstration et application d'extinction de feux :
feux de solides
feux de liquides inflammables
feux mixtes
feux d'origine électrique
Habilitation H0V-B0V
Objectifs
Permettre aux Pompier Industriel, non électriciens, de respecter les prescriptions de sécurité à l'occasion d'opérations non électriques au voisinage de pièces nues sous tension
Connaître les risques spécifiques à l'énergie électrique
Savoir se protéger des effets physiopathologiques du courant électrique
Acquérir des notions de base quant au secours des personnes électrisées
Opérations simples et non électriques sur des installations électriques – coffrets, armoires, locaux – réservées aux électriciens ou appelés à travailler au voisinage de pièces nues sous tension.
Contenu:
. NOTIONS ÉLÉMENTAIRES D'ÉLECTRICITÉ
Qu'est-ce que le "courant électrique" ?
L'électricité dynamique – l'électricité statique
Propriétés et mesures électriques – Notions d'intensité, de tension et de résistance
. LE RISQUE ÉLECTRIQUE
Les causes d'accidents d'origine électrique
Les paramètres électriques et biologiques, facteurs de gravité
Les effets immédiats et physiopathologiques du courant électrique
Les effets secondaires du courant électrique
. LA PRÉVENTION DU RISQUE ÉLECTRIQUE
Comment se protéger des contacts directs et indirects ?
Conduite à tenir en cas d'incident ou d'accident d'origine électrique
. LES PRESCRIPTIONS DE LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE
Nécessités d'une habilitation
Domaines de tension
Le risque électrique au regard des consignes de sécurité
. LES TRAVAUX
Consignations et déconsignations – la vérification d'absence de tension
Les équipements de protection, matériels et outillages électriques
Les travaux d'ordre non électrique au voisinage d'installations sous tension
. PRATIQUE
Présentation des installations électriques
Visite technique d'un TGBT
Port de l'Appareil Respiratoire Isolant
Objectifs:
Permettre aux personnels d'évoluer en toute sécurité en atmosphère viciée
Pouvoir assurer une mission de reconnaissance et de sauvetage de personne en atmosphère viciée
Personnels de service de sécurité incendie
Equipiers de première intervention incendie
Equipiers de seconde intervention incendie
(Justifier d'une aptitude médicale services de prévention du travail au port de l'A.R.I.C.O.)
GIES NIVEAU 1 - SITES CHIMIQUES ET INDUSTRIELS
OBJECTIF PÉDAGOGIQUE
- informer le personnel des Entreprises Extérieures sur le contexte de leurs interventions sur sites,
- sensibiliser aux risques produits et travaux,
- rappeler les règles de prévention et protection,
- identifier l'importance des procédures et la nécessité d'un strict respect,
- adopter un comportement responsable
.PERSONNEL CONCERNÉ
Toute personne d'Entreprises Extérieures intervenant dans des Entreprises Utilisatrices exigeant le GIES .
Nota : comprendre et parler le français.
GIES NIVEAU 2 - SITES CHIMIQUES ET INDUSTRIELS
OBJECTIF PÉDAGOGIQUE
- informer du rôle de l'employeur et de celui son représentant, connaître les sources d'informations disponibles,
- comprendre et appliquer les obligations réglementaires et les exigences des sites du GIPHISE,
- savoir évaluer les risques , proposer et mettre en ½uvre les actions de prévention.
PERSONNEL CONCERNÉ
Tout personnel d'Entreprises Extérieures rédacteur et/ou signataire des documents de travail (autorisation de travail, permis ...).
Pré requis :
- lire et écrire couramment le français,
- posséder le niveau 1 ou 2 en cours de validité ou une dérogation écrite d'un service sécurité d'une EU membre du GIES donnant l'équivalence,
- attestation de l'employeur indiquant que le stagiaire « possède la compétence , l'autorité et les moyens nécessaire pour effectuer le retrait, valider et contrôler les autorisations de travail au sein des entreprises du GIES ».
Risques chimiques, radiologiques et biologiques - RCH-RAD-BIO
Ces techniciens en interventions chimiques, radiologiques et biologiques interviennent sur tous les accidents à caractère chimique, radiologique ou biologique tant dans les vecteurs de transport que dans les entreprises utilisant des produits chimiques ou dans les laboratoires. Ils sont amenés à détecter les différents produits, colmater des fuites ou décontaminer les personnes touchées par ces différents produits.
Intervention sur risque chimique
Réglementation, notions de toxicologie et de
toxicité.
ƒ L'identification des risques, le code Kemler,
les bouteilles de gaz.
ƒ Les équipements de protection individuelle,
les scaphandres.
ƒ Le matériel d'intervention.
ƒ La décontamination.
ƒ Les règles d'intervention.
ƒ Habillage, parcours d'accoutumance au port du
scaphandre, déshabillage.
ƒ Port de l'ARI et des équipements de protection
individuelle en situation d'intervention.
ƒ Ateliers de mise en ½uvre de matériel
d'intervention sur fuites.
ƒ Montage d'un sas et décontamination d'un porteur
de scaphandre.
ƒ Scénarios d'exercices complets en équipe
regroupant l'ensemble des phases d'une
intervention
Formation ATEX Atmosphères Explosives
Définition d'une ATEX
- L'hexagone de l'explosion
- L'explosimétrie
- Mécanisme des explosions dues aux atmosphère : gaz, vapeurs et poussières
- les causes et conséquences de l'atex
Maîtrise du risque
- Les références réglementaires : directives 94/9/CE et 99/92/CE, les décrets
- Les obligations vis à vis des ATEX
- Le marquage des appareils et équipements
Mise en oeuvre de la démarche de conformité ATEX (selon ED 945)
- Identification des atmosphères explosives
- Identification des sources d'inflammation
- Définition des zones ATEX
- La mise en place des mesures de prévention et de protection
- préparation en vue de la rédaction du DRPE
Mesures de prévention et de protection
- Formation et information obligatoires du personnel exposé
- La signalisation des zones sur le site
- Les mesures organisationnelles de protection (EPC, EPI)
- Mesures en vue d'éviter le risque
- Mesures en vue d'éviter les sources d'inflammation
- Mesures pour atténuer les effets de l'explosion
Habilitation pyrotechnique
L'habilitation est la reconnaissance, par le Chef d'Entreprise, que la personne habilitée possède les connaissances et les aptitudes à remplir ses fonctions dans un établissement pyrotechnique, dans une zone pyrotechnique ou pour un emploi pyrotechnique.
L'article 82 du décret 79846 du 28 septembre 1979 impose au chef d'entreprise d'habiliter son personnel pour travailler en pyrotechnie
Cette habilitation se fait habituellement en quatre étapes.
aptitude médicale
le médecin recherche s'il y a des contre- indications au travail en pyrotechnie telles que :
vision latérale nulle ou diminuée,
vision des couleurs nettement dégradée,
troubles de l'équilibre,
troubles du comportement
allergies aux substances
........
formation théorique aux dangers pouvant être rencontrés en pyrotechnie
nature des phénomènes pyrotechniques,
effets d'un accident,
principes de protections
aspects réglementaires
Selon le niveau de risque et la qualification de la personne cette formation peut varier de :
une journée (personne travaillant dans un établissement pyrotechnique mais n'ayant aucune action sur ces produits) ,
une semaine pour un ouvrier exécutant des tâches connues sur des matières ou objets peu sensibles,
un an pour former un pyrotechnicien (ouvrier professionnel de la pyrotechnie devant être capable de tous les postes de travail sur substance explosive ou amorçage)
formation pratique au poste de travail
aux produits situés aux alentours
aux procédures susceptibles d'être rencontrées.
travail en binome
s'il y a manipulation ou action sur les substences ou produits pyrotechniques
officialisation de l'habilitation
remise de documents au salarié(article 83 du décret 79846) :
un exemplaire du décret 79846
un exemplaire de la consigne générale du site
.
RCD1 Raffinage-Chimie
(Matériels et méthodes d'intervention sur différents types de feux.)
- S 'adresse aux Opérateurs, Equipiers d'Intervention et Agents d'Exploitation ou Employés de dépôts.
- Fait acquérir les connaissances de base concernant les matériels et méthodes d'intervention sur différents types de feux.
RC2 (Perfectionne les connaissances Raffinage-Chimie 2ème partie.)
- S'adresse aux Opérateurs et Equipiers d'Intervention.
- Développe et perfectionne les connaissances concernant les matériels et méthodes d'intervention sur différents types de feux.
RIF
Rappel des connaissances des Opérateurs, Equipiers d'Intervention, Chefs de quart,
Chefs d'Equipes Intervention, Agents d'Exploitation des dépôts, ...
IEC ( Intervention Equipes Constituées)
Concerne une équipe d'Intervention déjà formée à lutter contre un sinistre dans le cadre de son établissement.
CEI (Chef d'Equipe d'Intervention)
Est relatif à l'organisation de la lutte contre un sinistre sur le terrain et aux rôles et missions du CEI.
bjectifs :
- Apporter aux stagiaires des connaissances de base sur les produits pétroliers.
- Confirmer les connaissances des stagiaires en matière d'agents d'extinction.
- Apprendre aux stagiaires :
- A faire face, en sécurité, à des feux d'hydrocarbures,
- A prendre les dispositions d'attaque en s'intégrant dans un dispositif.
50% THEORIE
- La mousse physique.
- Modélisation avec EPPM CTD
- Dangers des feux
- Expériences pratiques sur les hydrocarbures liquides
- Bang box
- Rappel des grands principes d'intervention
- Etudes de cas : Feu de "camion citerne" et feu de "cuvette et bac".
50% PRATIQUE
- Feu de structure métallique.
- Feu de cuvette 100 m².
- Feu alimenté de GPL et stockage de gaz.
- Démonstration du fonctionnement d'une boîte à mousse sur réservoir.
- Feu de caniveau.
- Feu d' installation (pompe, échangeur)
- Feu de cuvette alcool.
- Feu alimenté camion-citerne au poste de chargement.
- Feu de rack aérien (Roussillon).
- Feu alimenté dans une unité de production avec victime.
- Feu de bac et sa cuvette de rétention (Vernon).
- Feu de 200 m² (Roussillon).
- Modélisation d'un BLEVE.
PREMIERS SECOURS EN EQUIPE DE NIVEAU 1
PREMIERS SECOURS EN EQUIPE DE NIVEAU 2
Les formations PSE1 et PSE2 s'adressent à toute personne souhaitant exercer une activité opérationnelle, au sein d'un poste de secours.
FORMATION PSE1 :
L'équipier PSE1 doit être capable d'agir seul ou à côté d'un équipier secouriste PSE2, avec ou sans matéri
Durée de la formation : 35 heures de formation initiale + formation continue annuelle
Contenu de la formation :
Le secouriste
La chaîne des secours
La sécurité
L'alerte
L'obstruction brutale des voies aériennes
Les hémorragies externes
L'inconscience
L'arrêt cardio respiratoire
L'arrêt cardio respiratoire avec la défibrillation automatisée externe
Les détresses vitales
Les malaises et la maladie
Les accidents de la peau
Les traumatismes des os et des articulations
La surveillance et l'aide au déplacement
Les personnes souhaitant passer le BNSSA doivent suivre une formation PSE1.
FORMATION PSE2 :
L'équipier secouriste PSE2 quant à lui doit être capable de prendre en charge une ou plusieurs victimes et agir à côté d'un équipier ou au sein d'une équipe de secours (pompiers, sauveteurs, etc...)
Pré-requis : être titulaire du PSE1 en cours de validité
Durée de la formation : 35 heures de formation initiale + formation continue annuelle
Contenu de la formation :
L'équipier secouriste
Hygiène et asepsie
Les bilans
Les atteintes liées aux circonstances
Les affections spécifiques
Les souffrances psychiques et comportements inhabituels
Les pansements et bandages
Les immobilisations
Les relevages
Les brancardages et le transport
Les situations à multiples victimes
CONDUCTEUR PL
Conduite des véhicules de transport de marchandises dont PTAC est supérieur à 3,5T sans excéder 32T, auxquels on peut atteler une remorque dont le PTAC est inférieur à 750 Kg.
Durée de la formation : 4 semaines / 140 Heures
Contenu de la formation : maîtriser le véhicule en marche avant à allure lente hors circulation ou en trafic faible ou nul,
savoir effectuer les vérifications de sécurité avant départ. Maîtriser le véhicule en marche arrière. Effectuer des arrêts de précision,
choisir la position sur la chaussée, franchir une intersection ou y changer de direction, en fonction du gabarit du véhicule,
circuler dans des conditions normales sur route et en agglomération,
connaître les situations présentant des difficultés particulières,
Age : 18 ans (limité à 7,5 T jusqu'à 21 ans)
Possession du permis tourisme "catégorie B" .
Visite médicale initiale obligatoire renouvelable tous les 5 ans.
Contre-indication : illétrisme, alcoolisme, diabète, vue (minimum 13/10 - 5/10 à l'oeil le plus faible), ainsi que d'autres affections incompatibles avec la profession.
Formation engin pompe COD1 / COD2
les sdis forment a la conduite d'engins d'intervention et dispense des formations spécifiques : COD . Pour conduire un engin pompe, conformément au guide de référence sur la conduite, le pompier doit en effet obtenir son COD 1 qui comprend de la théorie et de la pratique « pompe ». Le COD 1 donne accès au COD 2, le certificat de conduite hors chemin, nécessaire pour améliorer la conduite d'engins feux de forêts.
F.I.A Sapeur Pompier Volontaire
La formation initiale débute au centre d'instruction du département . A l'issue la jeune recrue deviendra équipier sur les engins de premiers secours et de lutte contre l'incendie . Les cours sont conformes au programme des guides nationaux de réference (GNR) des sapeurs pompiers professionnels de la sécurité civile. pompiers reçoivent également une formation spécifique liée aux risques identifiés dans leurs département ex : les feux de navire et les feux de forêt (...)
Conventions de disponibilité employeur
Le Pompier Industriel est aussi un Sapeur Pompier Volontaire pouvant bénéficier, après accord d'une:
Conventions de disponibilité employeur - SDIS
Pour maintenir et favoriser la disponibilité des sapeurs-pompiers volontaires (SPV) en journée, des conventions de disponibilité peuvent être signées entre l'employeur (privé ou public) du sapeur-pompier volontaire et le SDIS permettant au SPV de partir en intervention et / ou en formation sur son temps de travail, selon des modalités bien définies.
Chaque convention est personnalisée en fonction des contraintes de l'entreprise ou du service public. Elle permet de formaliser les disponibilités accordées au SPV en terme de disponibilité opérationnelle (disponibilité totale, planifiée, ou autorisant des retards exceptionnels) et / ou en terme de formation (seuil de sollicitation (minimum 5 jours par an).
Les avantages pour l'employeur
L'employeur
peut demander à ce que soit appliqué le principe de subrogation, c'est-à-dire qu'il percevra les vacations en lieu et place du SPV quand sa rémunération est maintenue durant son absence,
a la possibilité d'inscrire les formations du SPV au plan de formation de son entreprise ou de sa collectivité, recevant ainsi des compensations des organismes de formation,
peut éventuellement obtenir une réduction d'impôt,
permet que soit assurée la continuité des secours de proximité, faisant ainsi valoir sa position « d'entreprise citoyenne ».
Les avantages pour le sapeur-pompier volontaire
Le sapeur-pompier volontaire
participe aux actions de formation et / ou part en missions opérationnelles pendant son temps de travail,
garde la totalité de son salaire et ne perd pas les avantages sociaux au sein de son entreprise ou de sa collectivité.
Références législatives
Loi 96-370 relative au développement du volontariat dans les corps de sapeurs-pompiers
Circulaire du Premier Ministre du 19 avril 1999
Circulaire n°5110/SG du 25 octobre 2005 du Premier Ministre
Circulaire NOR Inte0500100c du 14 novembre 2005
Circulaire du 19 juillet 2006 du ministère de l'Intérieur relative au label « employeur partenaire des sapeurs-pompiers »
Design by pompiers-industriel
Abonne-toi à mon blog ! (1 abonné)
Retour au blog de pompiers-industriel
Partage